Avec l’évolution de la médecine et de la science, certains cancers deviennent actuellement guérissables. De ce fait, le patient aura la chance de vivre longtemps tout en ayant un mode de vie normale. Ci-après alors trois types de cancers que les médecins reparties dans le monde parviennent à stabiliser, pour une meilleure vie du patient.
Le cancer du col de l’utérus
Le cancer du col de l’utérus est l’une des tumeurs que bons nombres de médecins, de professeurs et d’autres professionnels de la médecine parvient aujourd’hui à maîtriser. Le pronostic à survivre est considérable, à condition que le patient suive le traitement à temps et à la perfection. Ce genre de tumeur touche notamment les femmes de 30 à 50 ans. À noter que la tumeur provient généralement de l’évolution d’une MST appelée papillomavirus. Pour le dépister, le gynécologue effectue un test du « frottis » permettant de détecter rapidement la présence du syndrome papillomavirus. Cependant, on ne peut pas éliminer ce dernier. Le dépistage permet au médecin de prendre soin du patient tout en réalisant les soins et les surveillances nécessaires avant la guérison du cancer. Ainsi, pour prévenir le cancer du col de l’utérus, il vous est vivement conseillé d’effectuer un dépistage au moins tous les deux ans, à partir de 30 ans.
Le cancer du sein
Depuis quelques années, la mortalité due au cancer du sein diminue progressivement. Ces évolutions s’expliquent notamment par les progrès de la science et de la médecine ainsi que par la mise en place du dépistage gratuit dans certains pays. Ce dernier qui permet de réaliser un diagnostic précoce sur l’éventuelle présence de la maladie. La survie correspondant à ce cancer est d’ordre de 5 ans à condition que la tumeur soit repérée bien avant et qu’il est encore dans sa phase locale. De plus, le pronostic à 5 ans de survie peut aboutir certainement à une guérison du cancer du sein.
Le cancer de la prostate
Les chances de survie avec le cancer de la prostate augmentent considérablement de nos jours. Le pronostic de survie est d’ordre de 80 % pour 5 ans. La plupart des victimes ayant suivi des traitements au cours de la première année ont une forte chance d’arriver à la phase de guérison totale. Pour le moment, il n’y a pas de dépistage spécialisé pour le cancer de la prostate. Toutefois, il est possible d’effectuer un dépistage à titre individuel. Il consiste à réaliser un toucher rectal et à vérifier par la suite le taux de PSA (prostatic specific antigen). Le toucher rectal explique notamment la réticence des hommes à faire le dépistage. Alors que ce dernier est en général recommandé pour les hommes âgés de 50 ans et plus.